la protection animale,
Plus de 13 000 chats et 15 000 chiens vivent à Brest, cela représente la deuxième population d’animaux domestiques de Bretagne après Rennes qui compte près de 17 000 chats et 12 000 chiens. Leur bien être mais aussi la maîtrise des risques en termes de sécurité et de santé publique, doivent être des préoccupations de la future équipe municipale. C’est pourquoi nous y avons réfléchis et sommes prêts à agir pour améliorer la situation actuelle qui par certains aspects présente des faiblesses. C’est notamment vrai en ce qui concerne les animaux errants, faute d’une fourrière à proximité, par exemple, mais aussi de la propreté de la ville au regard des déjections, la prévention ne suffit pas en la matière. 20 chats ou chiens ont été récupérés et mis en fourrière, entre le 1er septembre 2019 et le 30 novembre 2019 dont 14 non identifiés, ainsi annuellement c’est une centaine d’animaux qui sont capturés dont 75% non identifiés. Pour mémoire, est considéré comme en état de divagation tout chien qui n’est plus sous la surveillance effective de son maître, qui en est responsable au-delà d’une distance de 100 mètres. Cette distance est portée à 200 mètres des habitations pour les chats.

Nos propositions
Ainsi nous nous engagerons :
A créer une fourrière et un refuge, garantissant le confort des animaux
A mener des opérations de sensibilisation sur l’identification obligatoire des animaux
A favoriser via les vétérinaires des campagnes de stérilisation, à coût accessible pour tous.
A s’assurer des moyens opérationnels d’intervention pour garantir la sécurité sanitaire des habitants
A mettre en place des contraventions pour les propriétaires indélicats s’agissant des déjections dans les lieux publics.
A interdire les cirques avec animaux qui ne garantiraient pas le bien-être animal.
Pour atteindre ces objectifs rapidement, nous :
Soutiendrons les associations spécialisées dans l’accueil et l’adoption des animaux
Nous ferons évoluer les moyens humains et techniques de la métropole après une analyse de la situation actuelle.
Nous travaillerons rapidement avec les docteurs vétérinaires pour mettre en place une convention, s’agissant de la stérilisation des animaux.